Qui suis-je?
Julien invente Lucrèce :
Je suis Julien Ledoux, passionné de littérature jeunesse et de philosophie. J’ai eu l’idée d’inventer ce petit personnage et son histoire pour personnifier ces passions. Lucrèce est un petit être pluriel à l’image de mon parcours : après un Baccalauréat scientifique, je me suis dirigé vers une faculté de biologie à 18 ans. Mais mon questionnement existentiel à ce moment-là n’a pas trouvé d’intérêt à cette discipline trop spécialisée pour moi. C’est l’être humain qui me passionnait, mais ses idées et ses états d’âme plus que son corps et sa physiologie. Je me suis donc dirigé vers la psychologie pour quatre années passionnantes ! Durant ces études, je me suis découvert une passion pour l’éducation et notamment les questions qui interrogent le lien entre les apprentissages des enfants et le psychisme. J’ai donc passé le concours de professeur des écoles et ai enseigné pendant 12 ans.
Découverte de la littérature jeunesse et de la philosophie :
En parallèle, je poursuivais mes études : un master 2 en littérature de jeunesse puis un doctorat. Mon travail portait sur les possibles bienfaits des ateliers à visée philosophique à partir d’ouvrages pour la jeunesse à l’école. J’y ai découvert que les livres (la culture en général) permettaient de prendre en charge les grandes questions humaines existentielles (et les angoisses qui peuvent les accompagner) en donnant droit de cité à ce questionnement trop souvent délaissé. Les résultats de mon travail montrent que les enfants ont besoin de telles médiations pour grandir, apprendre et devenir des citoyens éclairés.
Quelques parutions autour de mon travail :
Plus bas, vous trouverez les références de l’ouvrage que j’ai écrit, paru chez L’Harmattan ainsi que quelques articles parus dans des revues spécialisées. Lucrèce est donc à l’image de tout cela : un petit être médiateur entre les apprentissages et le questionnement. Il vous proposera ses ouvrages préférés: des analyses, des exploitations pédagogiques, des jeux… Bienvenue chez lui !
La littérature de jeunesse inscrite dans un flot culturel prenant sa source dans la tradition orale permet de restaurer la capacité imageante très en lien avec la capacité réflexive, base de tout apprentissage. Pour le montrer, j’ai organisé des ateliers à visée philosophique à partir d’oeuvres pour la jeunesse et analysé les interventions des élèves. Les résultats montrent que l’enfant et l’élève se côtoient de façon subtile et qu’on ne peut plus sacrifier l’une de ces dimensions sous peine d’empêcher la seconde d’émerger.
Cela faisait longtemps que j’avais envie d’écrire un roman. L’idée m’est venue après avoir découvert la géniale contre-histoire de la philosophie de Michel Onfray ! Je suis donc très heureux de vous présenter “L’étrange odyssée de Lucrèce”, qu’Edwige Chirouter m’a fait l’immense honneur de préfacer.
« Maintenant, Lucrèce était en terminale. Dans quelques mois, il passerait son baccalauréat et déjà on lui demandait de choisir sa voie… C’était un peu comme si on lui demandait de choisir son métier, sa vie. Et pourquoi pas sa maison ou la race de son futur chien ? Choisir, de toute manière, on ne lui avait jamais appris. Il était un excellent exécutant, une mémoire sans faille, mais choisir, créer, imaginer par lui-même, inventer de l’inédit, du jamais vu, ça, non. Cela relevait de l’impossible ! » Lucrèce, adolescent de 17 ans, mal dans sa peau, est solitaire et timide. Il voit à la télé une publicité sur une école privée qui propose un stage de trois jours pour trouver ou retrouver la joie et le bonheur. Ses parents, inquiets de son mal-être, l’y inscrivent. Commence alors pour Lucrèce une étrange odyssée qui le mènera dans le monde foisonnant des idées où il s’initiera à la philosophie. À partir de 14 ans
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